Vendredi 6 mai 2022 à 20h30
Tarif Plein : 15€
Pass : 12 €
Réduit : 10 €
Réservation à partir du 1er septembre
Interprétation, écriture : Michaël Hirsch - Mise en scène, co-écriture : Ivan Calbérac - Photo © Lisa Lesourd
Tout public (A partir 12 ans) / Humour
Grand prix du jury, Festival d'humour de Vienne 2016
Grand Prix, festival de Morges Sous Rire 2016
Le spectacle
Dans sa jeunesse, Michaël Hirsch était un élève plus que fâché avec la langue française, jusqu’à sa révélation en découvrant Raymond Devos puis Desproges.
Aujourd’hui auteur, comédien et humoriste, c’est avec ses chroniques vidéo et son livre, Lettre ou ne pas Lettre, qu’il s’est fait connaître. Il a tenu une chronique hebdomadaire dans la matinale d’Europe 1 en 2017 et 2018 et remplit les salles grâce au bouche à oreille (plutôt bon signe !).
Dans ce seul en scène, il nous convie à un réjouissant voyage existentiel guidé par une subtile impertinence. On y découvre une attachante galerie de portraits, drôles, tendres et décalés. Michaël Hirsch jongle avec les mots et nous entraîne dans son univers insolite où le rire et la dérision côtoient l’imaginaire et la poésie. Beaucoup de questions, très peu de réponses, mais on rit à ses trouvailles absurdes et c’est bien là l’essentiel !
Le mot du metteur en scène
"Un dicton prétend qu’aucune rencontre n’arrive par hasard, et c’est exactement ce que j’ai pensé lorsque j’ai croisé Michaël Hirsch sur ma route, il y a trois ans. J’ai eu un coup de coeur immédiat pour son univers, la virtuosité de son humour, son ironie tendre, sa poésie humaniste, et nous nous sommes vite mis à collaborer sur POURQUOI ?, et Lettre ou ne pas Lettre.
Le défi était pour nous, avec cette nouvelle version, d’essayer de franchir un nouveau palier dans toutes les dimensions du spectacle, son esthétique, sa drôlerie, sa folie, sa singularité, sa fraîcheur. L’objectif est que ce seul en scène soit vécu comme une sorte de parenthèse enchantée, avec son univers bien à part, personnel mais accessible, et développant un humour - un peu à la manière des films de Woody Allen - qui rendent un tout petit peu plus intelligent, un tout petit peu plus conscient, un tout petit peu plus aimant… Et si c’était le cas, ce serait déjà beaucoup !"
Ivan Calbérac